Quelques nouvelles_2
Bonjour à toutes,
Je remercie du fond du cœur,
les amies qui ont pris le temps de lire mon dernier article,
celles qui ont écrit de gentils messages en commentaire,
celles qui m’ont contacté en privé.
Vous ne pouvez imaginer combien votre soutien m'est précieux ♥
Je reprends la suite de mes confidences.
Veuillez excuser les éventuels doublons, avec le premier article...
et la longueur de celui-ci.
LE SILENCE DE LA SOCIETE
Je constate que les violences faites aux femmes et aux enfants
sont malheureusement trop souvent tues, cachées,
par une Société qui, encore au XXIème siècle,
ne veut ni voir, ni entendre.
Qui accepte, à moins de perversion,
qu’un de ses proches subisse, ces actes innommables ?
Or, le SILENCE le permet ! Le SILENCE de chacun et chacune d’entre nous…
Le silence de ceux qui vous écoutent, sans se sentir concernés…
Si cela lui est arrivé, elle doit bien être responsable de quelque chose, non ?
La vieille pudeur chrétienne qui veut qu'on ne parle pas du corps ?
L'indifférence tout simplement ? Tout ce que je ne connais pas...
FEMINISME
J’ai été élevée par une Maman, née en 1927 qui déjà, avait une sensibilité féministe.
Petite fille, je l’ai vue défendre et recueillir une amie battue, affronter le mari agresseur,
qui voulait des explications sur le départ de son épouse violentée,
et tant d’autres actes valeureux…
J’en déduis que c’est grâce à elle, que je trouve l’énergie, aujourd’hui, de me battre….
Si j’ai ressenti l’évidence immédiate de déposer plainte,
je pense que la raison en est que j’ai de suite été convaincue de l’agression subie,
mais aussi que j’ai eu la chance d’avoir interrompu le processus de l’agression en cours…
Je n’ose imaginer l’état psychologique dans lequel j’aurais été,
si je n’avais pas compris, ce qui se passait, au tout début de l’examen.
(Mon longue expérience du protocole m'a bien aidée.)
Peut-être n’aurais-je pas eu ensuite la force de me battre ?
L’injonction à porter plainte suite à une agression
ne tient pas compte des réalités psychologiques des victimes.
L’humiliation et la honte ressenties, poussent les victimes à se taire…
Pour certaines s’exposer à nouveau est toujours très douloureux.
Je l’affirme car lorsque j’ai rencontré les autres victimes,
lors de l’audience, j’ai constaté les dégâts psychologiques
qui ont découlé des agressions des co-victimes.
Ces patientes victimes sortaient du cabinet en pleurant,
et toutes ont déclaré « Je voulais déposer plainte, mais j’ai pensé :
Qui me croira ? Un médecin agresseur sexuel ? » Pour elles, c'était insurmontable.
Comment prouver le crime commis dans l’intimité du cabinet ?
Ce ne fut pas ma réaction : la colère a supplanté l'humiliation ressentie.
Il fallait que je l'arrête ! Absolument ! Pour protéger les autres femmes !
Si je ne l'avais pas fait, je m'en serai voulu, toute ma vie.
Je n'avais donc pas le choix...
PLUSIEURS VICTIMES
Quelle ne fut pas ma surprise d’apprendre rapidement, qu’en fait,
je n’étais pas la première, que les médecins employeurs le savaient,
mais qu’ils n’avaient pas réagi !!!
Suite à mon appel au cabinet, les employeurs l’ont viré….
De ce fait, je ne suis pas la première, mais la dernière victime sur ce site.
Ces faits, je les ai signalés dans mon courrier au Procureur,
en lui précisant, que visiblement, aux dires des employeurs de cet individu,
il existerait d’autres patientes victimes.
Ce qui l’a donc interpellé !
Une femme isolée, est rarement crue, même d'un Procureur.
D’ailleurs, mon premier avocat, m’avait dit, lors de notre premier contact,
« Si vous aviez été la seule victime déclarée, je n’aurais pas pris votre dossier… »
La majorité d’entre elles ont porté plainte, lorsqu’elles ont appris que je l’avais fait.
Chaque victime isolée n’a pas osé… mais unies, nous sommes plus fortes !
LE CONSEIL DE L'ORDRE
Si l’’accumulation des patientes victimes a interrogé le Procureur,
ce ne fut pas la réaction du Conseil de l’Ordre…
Deux plaintes ont été déposées auprès du Conseil départemental, à Vannes.
La Chambre disciplinaire régionale à Rennes a rejeté une plainte,
puis a mis un blâme au médecin agresseur pour la seconde….
(une petite tape sur la mimine du monsieur, c'est pas bien, il ne faut pas agresser les patientes...)
INFO : Tout en sachant que ce médecin était poursuivi
et mis en examen pour agressions sexuelles sur une vingtaine de patientes…
(C’est écrit dans les compte-rendus de chaque audience)
Peu leur importe !
Dans le monde médical, on parle beaucoup plus volontiers de complot de femmes !
Oui, oui, vous avez bien lu….
C’est écrit textuellement dans les auditions
de certains confrères de cet ignoble individu…
« Oh la la, depuis #metoo, nous, pauvres médecins ne pouvons plus travailler tranquillement.
Toutes ces plaintes ne sont que des complots »
He oui, messieurs, les patientes ne sont PLUS à la disposition de votre libido...
Alors, moi je réponds à ces médecins d’une autre époque,
qu’il est grand temps qu'ils prennent leur retraite !
STRATEGIE DE L'AGRESSEUR
Lorsqu’il entre dans la salle d’examen,
il ne donne pas les résultats des clichés et il ne communique pas…
Il reste totalement silencieux....
Pour moi, de plus, il n'a pratiqué aucun geste d'hygiène....ni lavage de mains, ni gel hydroalcoolique
alors que nous sommes masqués, puisqu'au cours du second Confinement (novembre 2020)
relatif à la pandémie de Covid19.
SON SILENCE plonge la patiente dans l'inquiétude !
Il sait que nous que nous sommes TOUTES toujours dans l’angoisse du résultat des clichés.
Il nous maintient dans l’ignorance de ces résultats, pour abuser de nous.
Une proie tétanisée est plus facile à attaquer…
Un des jeunes victimes ( récemment traitée pour cancer du sein avec récidive)
m’a confié que, en quittant le cabinet,
rassurée par la conclusion que les clichés sont corrects,
elle a mis, dans un premier temps, sur la touche, l'agression...
Pourquoi ? parce que soulagée de ne pas entendre à nouveau le mot « récidive » .
Mais elle n’a jamais oublié les actes délictueux…7 ans après, elle est encore en larmes…
LA SPHERE MEDICALE
Un médecin qui dénonce un autre médecin peut être poursuivi
par la chambre disciplinaire du conseil de l’Ordre,
et risque un blâme, un avertissement, une interdiction d’exercer
(un chirurgien de la Sarthe a été interdit d’exercer la médecine pendant plusieurs mois,
alors qu’il dénonçait un praticien qui avait agressé sa femme)
Pourtant, des faits d’agression sexuelle par des praticiens sont découverts chaque jour….
« Le statut de médecin est un camouflage presque parfait
et l'exercice de la médecine offre des « opportunités » idéales d'emprise,
d'accès au corps permettant une confusion
volontairement entretenue entre gestes médicaux et agressions sexuelles,
de création d'une dépendance et de manipulation,
qui s'ajoutent aux stratégies habituelles des agresseurs »
extrait d’un article émis par l’AVFT :
Association européenne contre les Violences faites aux Femmes au Travail
https://www.avft.org/2016/02/02/violences-sexuelles-
commises-par-des-professionnels-de-sante-hippocrate-phallocrate/
Il faut savoir,
et c’est MAINTENANT précisé sur le site du Conseil National de l’Ordre des médecins
que la patiente agressée par un médecin doit déposer plainte,
auprès du Procureur de la République ou de la Gendarmerie.
Si ma colère est grande contre l’agresseur,
je suis totalement écœurée par le système…
et je crois d’autant plus que mon époux est lui-même médecin…
Les instances ordinales font beaucoup de tort à TOUS les médecins honnêtes,
en protégeant tous les praticiens agresseurs repérés…
LES FRAIS DE PROCEDURE
Qui a la possibilité financière de régler les honoraires d’un avocat ?
D'autant que l’aide juridictionnelle est accordée de manière réductrice.
De plus, nombre d’avocats refusent les affaires des victimes sous aide juridictionnelle.
C’était le cas de mon premier avocat….
C’est la double peine pour la majorité des femmes victimes.
Source : Livre « Classées sans suite »
Les femmes victimes de violences face à la Justice_
de l’avocate Violaine De Filippis-Abate /Editions PAYOT
Mais il est toujours possible de déposer plainte, sans prendre de conseil.
On peut aussi se constituer Partie Civile, dès le début, ou à tout moment.
Evidemment, je répète que porter plainte n’est en aucun cas une injonction de ma part.
Cependant, l'intérêt majeur de déposer plainte est
que cet acte officiel permet de mettre un « marqueur » sur le passif d'un agresseur…
CHANGEMENT D’AVOCAT
Lorsque j’ai changé d’avocat, j'ai choisi une femme,
spécialisée en défense des victimes de violences sexuelles.
J'ai au de la chance, elle a accepté mon dossier, alors que nous étions à 2 mois ½ de l’audience.
Enfin, je me suis sentie beaucoup plus solide !
Nous allions combattre ensemble !
Lors de notre premier entretien,
pour lequel je m’étais préparée de façon méthodique, je lui expose en accéléré tout le dossier.
Elle m’écoute très très attentivement, en prenant des notes à la vitesse de l 'éclair.
J’en profite donc pour lui parler
de la situation des patientes des autres sites du Morbihan
(Lorient, Ploemeur, Lanester, Hennebont).
Je ne pouvais me résoudre à les savoir mises sur la touche
Je crains une embrouille.
Elle me dit qu’elle va les contacter,
au moins pour les informer qu’une procédure est en cours,
ce que visiblement aucune d’elles ne sait…
Ces victimes ont déposé plainte, mais ne se sont pas constituées parties civiles,
tant et si bien qu’elles ne sont absolument pas informées
de l’action entreprise par la justice.
En effet, si les victimes ne sont pas parties Civiles, ce sont elles qui doivent
s'inquiéter de la suite donnée à leur plainte.
Plusieurs d’entre elles nous rejoignent, pour l’audience.
L'AUDIENCE
A l’audience de septembre 2024,
je suis accompagnée par mon avocate et un de ses collaborateurs.
Dès l’ouverture de l’audience, nous apprenons
que, les plaignantes des autres sites du Morbihan risquent
de ne pas être acceptées dans ce dossier,
en raison est-il précisé, d’une erreur de procédure.
En effet, Il eût fallu les inclure au dossier en cours,
par Commission rogatoire….AVANT la clôture du dossier de l’instruction.
Procédure qui avait été réalisée, pour les plaignantes du site d’Ille-et-Vilaine.
Qui devait faire cette procédure ? A priori, ce devait être le Procureur…,
Demande qui aurait pu lui être soumise par un des avocats…
notamment le mien, puisque je l'ai recruté dès le début de l'instruction.
Mais pour ce faire, il eût fallu qu'il s'intéressât au dossier....
Ou qu'une des victimes de ces sites, ait aussi pris un avocat...
J’ai donc enfin la réponse aux questions que je me posais.
Si le dossier avait été suivi de plus près, dès les premières semaines,
il n’y aurait pas eu cette erreur de procédure…
Plus de 50 victimes témoignent, seulement 20 déposent plainte.
Cet homme a exercé dans de nombreux cabinets,
dans lesquels visiblement, il y avait de nombreuses patientes
qui ne voulaient plus être examinées par ce médecin .
AUCUN de ses médecins
aucun membre du personnel encadrant ne se posent de questions ?…
Le SILENCE est vraiment de rigueur dans le monde médical….
La Présidente du Tribunal demande
si les victimes présentes souhaitent s'exprimer…
Nous sommes deux victimes sur 8 présentes à répondre positivement.
Certaines victimes sont absentes et sont représentées par leur avocat.
Je me suis donc présentée face à la Cour, et face à notre agresseur.
Je n’ai pas pleuré, je n’ai pas crié, j’ai juste exposé les faits calmement.
Par contre, je peux vous confier que je tremblais et que j’avais la bouche sèche.
A mon retour à ma place, mon avocate me dit gentiment,
que ma prise de parole représentait la meilleure des plaidoiries,
qu'elle ne pouvait espérer mieux…
A la suite de notre prise de parole, finalement,
toutes les victimes présentes ont suivi pour se relayer à la barre,
certaines en pleurs, d’autres en colère… Des moments intenses et difficiles.
Mes amies présentes, m’ont confié qu’elles avaient pris de plein fouet,
ce que représentait une action en justice,
et qu’elles étaient loin d’imaginer l’ignominie des agressions subies.
Je ne peux tout vous détailler,
il faudrait écrire un livre pour rapporter les faits d’un dossier
qui empile des centaines de pages…
Mais je vous dis et vous pouvez me croire : c’est écœurant !
exemple : l'agresseur était embauché dans un cabinet du Finistère,
juste après qu'il ait été viré, et après mon dépôt de plainte....
le médecin qui l'avait recruté, a été alerté des plaintes...
Il l'a embauché malgré tout, en estimant que nous mentions...
MES AMI(E)S
Mon entourage familial et de nombreux ami(e)s m’ont épaulée au cours de ces 4 années …
Elles, Ils m’ont écoutée, sans relâche.
Toutes et tous ont été affectueux, chaleureux, et tellement patients…
Ils ont aussi été précieux par leur conseils, tant avant qu'au cours de l’audience.
Mon mari et beaucoup de mes amis ont demandé
à venir m’assister au cours de cette audience., que nous avons choisie publique,
puisque nous avons TOUTES renoncé au huis clos.
La presse régionale est donc présente.
J’étais tellement bien entourée, qu'au cours de l’audience,
mes amis me passaient des messages, de bouche à oreille.
Je ne peux vous dire à quel point, j’ai été réconfortée de les savoir en soutien derrière moi,
de me sentir si bien entourée par toute cette bande chaleureuse.
COLERE OU TRISTESSE
Depuis 4 années je vis, avec des insomnies récurrentes,
et envahie par une colère permanente et finalement assez négative….
J'ai appris depuis peu que la colère est une émotion secondaire, souvent un déguisement de la tristesse.
Elle sert de mécanisme de défense pour se protéger de ressentir des émotions vulnérables.
J'ai donc trouvé l'origine de cette colère : ma tristesse.
Je suis effectivement en colère en raison de l’agression proprement dite,
un acte ignoble commis par un individu abject.
Mais je suis vraiment affectée par le comportement inacceptable du corps médical,
qui ne veut pas prendre conscience des dégâts psychologiques
que vivent les victimes d’agressions sexuelles par leurs confrères….
Même certains médecins de sexe féminin....
L'une d'entre elles défend furieusement l'agresseur... parce qu'il lui a rendu service... autrefois.
LES EMPLOYEURS
De plus, il faut savoir que les médecins employeurs de cet individu,
ne se sont jamais préoccupés des patientes de leur cabinet…
Aucun entretien, aucune excuse, aucun soutien…
Ces médecins bafouent tous le Serment d’Hippocrate !!!
22 de leurs patientes ont signalé avoir été victimes, dans leur propre cabinet,
par un médecin qu’ils ont eux-mêmes recruté, et rien…. Le néant !
ENONCE DU VERDICT
Les patientes victimes des autres sites ont été entendues,
mais, à l'issue de l'audience, avant le prononcé du verdict, on leur annonce
que leurs plaintes sont rejetées ; elles doivent commencer une autre procédure…
L’une d’entre elles est en larmes…. Moi, je suis sous le choc. Quelle injustice !
Au bout de 5 heures d’audience, et 30 minutes de délibéré,
la Présidente du Tribunal annonce, haut et fort,
que le prévenu est jugé COUPABLE, et condamné à
- 2 ans d’emprisonnement avec SURSIS,
- interdiction définitive d’exercer la médecine,
- 5 ans d’inéligibilité
- inscrit au Fichier Judiciaire des Infractions et Violences Sexuelles.
Justice est rendue, qu'en pensez-vous ? êtes-vous rassurées ?
Je le suis, sa CULPABILITE est reconnue par la Justice républicaine…
(alors que niée par la Justice Ordinale)
Je remercie vivement mon avocate et son collaborateur.
Moi, mon mari, mes amis, mes avocats, sommes heureux !
Oui, mais pas longtemps…
IL FAIT APPEL…
Cet homme indigne, fait appel ce qui lui permet de prolonger son emprise sur ses victimes.
L’arrogance dont il a fait preuve depuis 4 ans a démontré
qu’il est incapable d’introspection. C’est confirmé !
Il ne veut pas perdre la face, vis-à-vis de son entourage …
MAIS TOUTES, nous savons ce qu’il nous a fait !
INTUITION
Je suis la seule de mon groupe d’amis à ne pas être surprise !
A la sortie de l’audience, je partageais avec mon entourage,
la joie de l’annonce du jugement, mais, dans mon petit cœur, je savais que,
certes, sa condamnation actée est déjà une victoire,
mais que l’histoire ne s’arrêterait pas là, et qu’il ferait appel du jugement.
Mon intuition ne m’avait pas trompée.
LE COMBAT CONTINUE
J’informe mes avocats que je poursuis la procédure…
Ils me précisent rapidement que la Cour d’Appel de Rennes,
n’a aucun créneau d’audiencement avant plusieurs années….
J’ai 73 ans, dans quelques semaines… Il va me falloir tenir bon !
Je repars pour plusieurs années de combat judiciaire….
AUTRES CONSEQUENCES
Cet homme a agressé, c'est un fait acquis,
Mais il a aussi fait prendre des risques énormes aux patientes.
Il était tellement obsédé par l'urgence d'agresser,
qu'il ne nous a pas auscultées.
De plus, la majorité des victimes ne souhaitent plus consulter en mammographie.
Elle appréhendent car elles restent traumatisées.
Personnellement, je n'ai repris mon suivi, que 2 ans après,
Mais dans les jours qui avaient suivi l'agression,
j'avais alerté la Directrice de l'organisme de dépistage du cancer de Vannes
des faits d'agression sur ma personne, dans le cadre de ce dépistage.
Ce médecin m'a vraiment écoutée (il existe quelques médecins corrects)
et s'était empressée de demander à son service de revoir mon dossier en priorité.
Elle m'avait conseillé de déposer plainte, ce que j'avais déjà fait.
CONCLUSION
La peine encourue :
« L’infraction, définie aux articles 222-22, 222-27 et 222-28 du Code pénal,
est punie de 7 ans d’emprisonnement et de 100 000 € d’amende
lorsqu’elle est commise par une personne
qui abuse de l’autorité que lui confèrent ses fonctions. »
Il est loin d'avoir été puni à la hauteur de la peine encourue,
ni à la hauteur du préjudice qu'il a infligé à toutes ses victimes.
En France, dans l'avenir, la Justice devra prendre en considération
de façon beaucoup plus intense, les agressions faites aux femmes et aux enfants.
CELA SUFFIT !
Je ne peux que vous conseiller d'être prudente et attentive
lorsque vous allez en consultation...
Tout acte médical doit avoir votre consentement.
Personnellement, maintenant, je ne consulte qu'accompagnée.
Merci à vous d'être là. Je vous embrasse.
Nelly ♥